Née en 1990 dans les Côtes d’Armor, Pauline Ledu a fait sa scolarité au lycée des Cordeliers, à Dinan. Après l’obtention de son bac littéraire option Arts Plastiques en 2008, elle a passé avec succès le concours d’entrée aux Beaux-Arts de Brest la même année. Elle y a étudié pendant trois ans, jusqu’à obtenir en 2011, sa licence en Art. Ces trois années, lui ont permis d’élargir ses moyens d’expression et de s’ouvrir à divers modes de pensée ; un recul nécessaire à toute création personnelle.

Ne souhaitant pas poursuivre jusqu’au Master, elle a décidé de se tourner vers l’art qui lui a donné le goût du dessin étant enfant : l’art ludique, regroupant la bande dessinée, le jeu vidéo et le dessin d’animation. Durant deux années, elle a suivi des cours de bande dessinée par correspondance chez Lignes et Formations. Ce fut pour elle l’occasion de se préparer au concours d’entrée aux Gobelins, l’école de l’image, afin de se spécialiser dans le dessin d’animation. Actuellement, elle poursuit ses études de bande dessinée par correspondance, et vise toujours le milieu de l’animation.

Déjà paru aux éditions Le bleu des étoiles:

La Vie hâtive (illustratrice)

Le questionnaire de Proust par Pauline :

Ma principale qualité : hyper sensible
Mon principal défaut : hyper sensible…
La qualité que je préfère chez les hommes : l’humour
La qualité que je préfère chez les femmes : l’humour
Ce que j’apprécie le plus chez mes amis : leur présence
Mon occupation préférée : construire un monde avec des lignes
Mon rêve de bonheur : un lieu de vie qui rassemblerait toutes sortes d’artistes
Quel serait mon plus grand malheur : qu’on me coupe la main gauche !!
Où aimerais-je vivre : sur un sommet de montagne, pour surplomber les plus beaux paysages
La couleur que je préfère : je les aime toutes, vraiment !
La fleur que j’aime : la fleur de lys
L’oiseau que je préfère : le moineau
Ma nourriture et ma boisson préférée : le chocolat et l’eau
Ce que je déteste par dessus tout : perdre du bon pain le matin quand il est trop grillé
Comment aimerais-je mourir : j’en ai pas vraiment envie mais puisqu’il le faut, en dormant
L’état présent de mon esprit : flottant
La faute qui m’inspire le plus d’indulgence : un ton sévère alors que les hormones travaillent
Ma devise : aujourd’hui est aujourd’hui, demain sera demain, hier était hier.